top of page
WEB paysage - © Pierre Jaffeux - Eidetic Studio (1).jpg

La cafetera roja | SAMEDI 31 août - 22h30

Pour beaucoup, les premières années de "La Cafetera Roja", c’était "L’auberge espagnole". Le film de Klapisch sorti en 2002, porté par la magnifique B.O de l’ancien programmateur de Nova, Loic Dury, un collectif hip hop, rock festif, bêtes de scène, bouffeurs de planches, créateurs d’un “Eurorap” vitaminé de guitares et de batterie. Une famille qui se choisit à l’oreille, à Barcelone, en 2008, multigénérationnels, mixtes, autodidactes, un cercle étoilé sur un champ d’azur, un groupe européen.

La Cafetera Roja, c’est le refus des étiquettes, ils ne sont pas rock, pas trip hop, pas reggae, pas chanson, pas jazz, pas latino, leur gloubiboulga, c’est le temps qui l’a mijoté, la “sono mondiale” s’y est invitée, leur langage, ils se le sont inventé. Ils sont aujourd’hui, “Hip Hop - world”, tout autant que “rock-électro”. En quittant Barcelone, leur espagnol se transforme, se mélange au français, à l’allemand, l’anglais, ils fabriquent leur propre esperanto, leur son transpire la joie du jouer ensemble.

Aujourd’hui, La Cafetera Roja, n’est plus l’auberge espagnole, elle est “L'Incroyable Histoire de l'île de la Rose”, un nouveau chapitre dans l’histoire du groupe, l’utopie de 1968, de Giorgio Rosa, une plateforme de 400 m² dans les eaux internationales, que l'ingénieur italien fit reconnaître comme un Etat indépendant. Leur île pour ce disque est virtuelle, la batterie devient percussion, puis séquence, puis de nouveau rythmique, oscille au gré du vent de l’organique à l'électronique.

bottom of page